Top 3 des conseils d’un artilleur

Top 3 des conseils d’un artilleur

Dans cette vidéo, nous avons le plaisir et la chance d’interviewer le meneur évoluant actuellement à Fos Provence Basket : Edouard Choquet.
Et connaissant son adresse longue distance, on en a profité pour lui demander ses 3 meilleurs conseils pour être adroit !

 

➡️ Now it’s your turn :  pour toi quelles sont tes 3 meilleures astuces pour être adroit-e ? Réponds en commentaire

Tu veux aller + loin ? La 1ère séance de 30 minutes est offerte. Rdv directement sur la page coaching/consulting pour en profiter dès maintenant.

Progresse aux lancers francs sans changer ton geste

Progresse aux lancers francs sans changer ton geste

Bon alors à la base je me suis dit « je vais faire des recherches pour voir l’origine de ce shoot, quand est ce qu’il est apparu et tout et tout…

Et puis après je me suis dit que c’était un peu chiant 🤹🏼‍♀️😁

Alors si ça t’intéresse je te mets le lien wiki basket pour que t’apprennes tout ça…

En attendant, on a préféré se concentrer sur la méthode et les petites astuces qui pourraient faire de toi un-e super shooteur-euse de lancers francs sans même que tu aies besoin de changer ta gestuelle de tir !

Pourquoi as-tu besoin de savoir shooter des lancers francs❓

 

 

  • Si tu es très maladroit-e aux lancers francs,  l’adversaire sait qu’il peut faire faute sur toi dès que tu gagnes ton 1 contre 1. Et ça c’est pas top… Tu as  déjà entendu parlé du Hack-a-shaq ? La stratégie en nba qui consistait à essayer d’arracher les bras de Shaquile O’neal quand il montait au cercle… Vu qu’il n’était vraiment pas adroit aux lancers francs, c’était la meilleure chose à faire. Bref j’imagine que tu as pas envie qu’on te fasse subir ça…
  • C’est une bonne aide pour bosser sur ta gestuelle de tir : quand on a fait des stage avec docteur shoot Nicolas Gétin, on a bossé énormément à cette distance pour modifier et améliorer notre gestuelle. Au final, pour moi, c’est une bonne aide de shooter des lancers francs quand mon tir à trois points part un peu en cacahuète ^^
  • Les fins de matchs, c’est soit des trois points soit des lancers francs… Et oui parce que si tu vas au cercle en fin de match et que c’est serré, tu peux être sur-e que la défense va y mettre de l’impact physiquement et donc il y a un gros risque pour qu’elle fasse faute. Rien de plus frustrant que d’avoir le lancer franc de la gagne et… de le louper 
  • C’est des points faciles: oui oui alors je dis pas que c’est facile de marquer des lancers francs, mais c’est « facile » parce que la défense doit jouer à 1,2,3 SOLEIL pendant que tu shootes. Donc tes plutôt tranquille pour les tirer
  • ça ruine le moral de tes adversaires d’encaisser des lancers francs : ils peuvent pas défendre donc ils ont qu’à te regarder marquer… Et à l’inverse si tu loupes, l’adversaire est content d’avoir fait faute

Bref…

Le lancer francs est un tir important au basket.

Alors on est parti pour te balancer toutes nos astuces pour que tu progresses dès maintenant au lancer franc sans changer ton shoot ! 

1 – prendre ton temps 

Tu as 5 secondes pour shooter.

5 secondes c’est long.

Rares sont les joueurs joueuses qui utilisent la totalité des 5 secondes pour shooter (tu peux observer tes co-équipiers pour voir le temps qu’ils mettent à shooter pour vérifier nos infos ^^). 

2 – Gagner du temps 

Non c’est pas la même chose que le conseil d’avant ! 😁

Gagner du temps, c’est surtout en situation de fatigue.

En général quand tu as des lancers francs c’est qu’il y a eu faute sur toi. Donc tu viens d’encaisser un choc, tu es peut-être même tombé-e. 

Et figure toi que tu as le droit de prendre ton temps pour te rendre sur la ligne des lancers francs.

Tu as le droit de prendre quelques secondes avant de te relever.

Tu as le droit de refaire ton lacet (là c’est vraiment quand tes ultra fatigué-e ou que tu sens que ton équipe a besoin de souffler un moment).

Les 5 secondes ne commencent à être décomptées que quand l’arbitre t’a donné le ballon ! 

3 – Utiliser ta respiration

On en a déjà parlé dans une vidéo, Sepp Mougnol est un expert dans ce domaine. Il sensibilise (entre autres) les basketteurs sur l’importance qu’a la respiration sur ta performance.

Au lancer franc, tu peux utiliser ta respiration pour te recentrer sur toi, et te calmer si tu en ressens le besoin. Ça te permettra de faire plus facilement abstraction de l’environnement (spectateurs, score serré, importance du match pour ton équipe et toi, etc) 

Personnellement, j’ai aussi remarqué que je me sens mieux en expirant juste au moment où je vais enclencher mon tir. En gros, je shoote avec peu d’air dans mes poumons. C’est un repère qui fonctionne pour moi, mais je ne suis pas assez calée dans le domaine pour t’en dire plus (demande à Sepp si t’es interressé-e)

4 – Trouver tes ancrages 

Ça te dit quelque chose les ancrages ?

Je les definirai comme des repères qui te permettent automatiquement d’effectuer ton geste.

C’est une explication rapide mais en gros, ça va te permettre en match de retrouver des sensations similaires de celles ressenties lors de tes entrainements au lancer franc. Et donc de pouvoir shooter de manière « automatisée », « instinctive ». 

Par contre c’est pas de la magie : c’est un truc que tu dois travailler à chaque lancers francs, à chaque entrainement, et ça viendra ensuite en match directement.

Exemple d’ancrage : 

  • une phrase que tu peux te dire dans ta tête (« pousse sur tes jambes », « marquer panier », « easy je suis une machine »…) c’est toi qui vois ce que tu as besoin de te dire
  • le placement de tes pieds au sol
  • la respiration (comme ce que je t’ai expliqué pour moi plus haut)

 5 – Ton rituel 

Ça rejoint l’ancrage mais j’avais envie de faire deux points différents (je fais ce que je veux c’est notre site après tout ^^) 

 

Le but du rituel est de te mettre dans les meilleures dispositions pour shooter ton lancer franc : mentalement, physiquement techniquement.

 

C’est donc hyper individuel ! 

 

Il va donc falloir expérimenter ce qui te convient : le nombre de dribble(s) que tu veux faire, où est-ce-que tu places ta concentration et ton attention, ton placement de départ… Toutes ces choses c’est en tâtonnant que tu vas les trouver. 

 

Et en plus ça peut être fluctuant : moi perso je fais pas le même nombre de dribbles à chaque fois. Mon point d’attention est sur ma concentration. J’ai besoin de me sentir calme et sereine quand je vais shooter mon lancer. Donc quand je sens que je suis calme, je peux enclencher mon shoot. Parfois c’est après un dribble et parfois 4. En gros : j’y vais quand je sens que je vais marquer… ça fait un peu prétentieux mais c’est vraiment la sensation que j’éprouve.

 

D’autres joueurs et joueuses sont intransigeant(e)s à ce propos : TOUJOURS le même rituel. Et c’est ok, faut juste trouver ce qui te convient à TOI.

 

Sauter ou Pas sauter

Certains joueurs de haut niveau sautent, mais c’est hyper rare ! Vraiment hyper rare.

Pourquoi ?

Parce que physiquement, ils peuvent shooter avec uniquement leur haut du corps. Ils utilisent leur jambes juste pour se coordonner au niveau de la poussée pour la plupart.
Maintenant, si tu n’as pas encore suffisamment de force, mieux vaut sauter pour le moment plutôt que de déformer ton shoot ! Par contre à l’entrainement tu peux te rapprocher un peu du cercle pour shooter sans sauter, ça te permettra d’amorcer ton futur shoot au lancer franc quand tu auras plus de force.

Comment t’entrainer à shooter des lancers francs 

-> En situation réelle 

Pendant tes practices, tu es en situation de fatigue : c’est assez proche de ce qui se passe en match. C’est donc hyper intéressant de glisser quelques lancers francs à l’intérieur des séquences de jeu des entrainements !

Si ton coach ne fait pas shooter les lancers francs sur les fautes pendant les entrainements, n’hésite pas à en shooter 1 ou 2 entre chaque séquence, avant d’aller boire par exemple. C’est un bon entrainement « en situation réelle »

-> Recherche de ton rituel de lancer franc et de ta concentration optimale 

Il va falloir expérimenter ici. On ne peut pas te donner de réponses toutes cuites a ce sujet, c’est à toi d’essayer et de voir ce qui te convient. Mais ce n’est pas le même travail que le point précédent. 

Deviens un shooteur ou une shooteuse adroit-e aux lancers francs

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Voilà, avec ces conseils tu peux déjà impulser ta progression de manière significative sur la ligne des lancers francs ! 

On espère que ça pourra t’aider à progresser, à prendre du plaisir en allant shooter tes lancers francs en match comme à l’entrainement ! 

Claire 🤹🏼‍♀️ & Mel 🤹🏻‍♀️

Katana Thompson

Katana Thompson

Aujourdhui, on ne parle pas de Stephen.

On ne parle pas non plus de KD.

On va te parler du shooteur le plus propre et efficace de Golden State.

Mais non, pas Steeve Kerr 🤦🏼‍♀️

Ce bon vieux Klay Thompson.

Ici à Basketball Impulsion, on rabâche que si tu veux être performant, il faut que tu saches avec une clarté limpide quelles sont tes forces, et axer ton travail jusqu’à en devenir excellent dans TON/TES domaine(s) de prédilection.

Ca devient alors évident de parler de Klay Thompson.

Son domaine de prédilection : le catch and shoot (il faut le dire vite si tu veux égaler la vitesse à laquelle il arme son tir)

Du coup, plutôt que de vouloir copier sur les copains de son équipe qui ont plus tendance à poser la balle au sol (parce que c’est leur force à EUX),

Lui, il a « juste » bossé sur son gros talent d’adresse, jusqu’à rendre sa mécanique ultra régulière et précise, son armée hyper rapide et sa prise de décision tout aussi fast and furious.

En plus de ça, il a l’intelligence de toujours jouer sans ballon pour pouvoir se créer avant même de recevoir la balle une espace de tir suffisant.

Pour terminer, il a de la clarté dans son rôle au sein du collectif de golden State.
Il a moins la balle quand les autres joueurs sont en feu. Parfois le jeu ne va pas dans son sens.
Et alors ?

Et bah il continue de défendre comme il sait bien le faire et en attaque il reste prêt si on lui laisse 3 cm pour shooter. Un exemple de leadership, mis en place et accepté grâce à une stratégie collective qui mise sur le long terme et la « réussite ensemble ».

Donc on résume :

À la base, le mec a une grosse qualité d’adresse et il aime balancer des bombinette loin du cercle.

Il a donc bossé sur son tir pour l’améliorer chaque jour.

En plus de ça il a mis tout le reste du boulot au service de son catch and shoot : jeu sans ballon, prise de décision, vitesse d’exécution, lecture des écrans sans ballon, défense pour rester confiant les soirs où ça rentre pas, etc…

C’est ce qui fait que Klay Thompson est un Katana

Tranchant et précis, il met tous ses efforts au service de sa force principale. 

Et toi, c’est quoi ta/tes force(s) ?

Et quels efforts tu mets en place pour mettre ton jeu au service de cette/ces force(s) ?

Histoire de bien s’inspirer, on se régale ensemble de son festival offensif, avec son style bien à lui : 43 points en 4 dribbles !

Impressionnant !!

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60% à 3 pts : behind the scene

60% à 3 pts : behind the scene

Ce week-end Mel a encore sorti l’artillerie lourde ➡️ 24 pts en 29 minutes avec un joli 6/10 à 3 pts…

Certes la stat est parlante. Mais derrière la stat que se cache-t-il ?

Une fillette qui un jour entend par son coach d’Alsace que si elle veut pouvoir jouer à haut niveau, il allait lui falloir développer un tir à 3 pts…

Mel a eu envie de partager avec toi cette partie de son histoire :

Cette phrase n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde… Ni d’un sourd d’ailleurs (mon papa étant présent au moment de la discussion).

Retour à la maison pour en discuter. A cette époque là j’étais encore benjamine, donc U13 en langage actuel 😋 et je n’avais que 2 entraînements par semaine. Ni une ni deux, mon papa et moi décidons de demander un créneau supplémentaire à mon coach en club pour pouvoir commencer à s’entraîner au shoot longue distance.

Quel coach peut refuser une pareille demande à partir du moment ou ça n’empiète pas sur ses créneaux ?

Quelle a eté la réponse du coach à votre avis ?

Un grand OUI bien sûr.

Nous voilà partis chaque vendredi soir pendant que les U13 garçons s’entraînaient pour une session d’1h30 de shoot sur un des paniers de la salle. Il y avait 6 paniers en tout ça aide 😊 (A cette époque là je ne savais pas encore comment travailler pour être efficace mais j’avais de la volonté à revendre !)

Quoi qu’il en soit je travaillais 1h30 de plus que les autres pendant que mon généreux papa travaillait son cardio en courant après les ballons dans le gymnase (et oui l’adresse n’était pas du tout au rdv !)

D’ailleurs au passage MERCI papa pour ce précieux temps accordé. Sans toi ce 6/10 n’aurait certainement pas pu voir le jour. Pas de la même manière du moins… Et c’est d’ailleurs pour ça que mes performances d’aujourd’hui ont une saveur si particulière. Parce que je sais tout l’investissement et le travail qu’il y a eu derrière ! Et pas seulement le miens mais celui de tout mon entourage !

Pourquoi je vous parle de ça ?

Parce qu’aujourdhui j’ai 28 ans. Et je concrétise par les stats le travail de toute une carrière. Qui comme vous le voyez a commencé 15 ans en arrière.

Qu’est ce que j’aimerais que vous reteniez ?

==> Que si tu veux VRAIMENT quelque chose, il va falloir aller le chercher !
==> Que La progression au basket est faite de sacrifices. Comme toute autre progression d’ailleurs.
==> Que si tu veux atteindre tes objectifs, il faut donner de ta personne.
==> Que la patience s’apprend et finit toujours par payer (je ne le suis absolument pas de base mais j’ai appris à apprécier chaque moment, qu’il soit positif ou négatif d’ailleurs)
==> Qu’à force de travail et d’abnégation, on finit toujours par arriver à ses “faims”.
==> Qu’au delà des résultats, le partage de tous ces moments (parfois chiants, il faut le dire aussi) avec les gens qui nous tiennent à cœur est d’une valeur inestimable !

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3 conseils pour bosser tes stop-tirs

3 conseils pour bosser tes stop-tirs

Tu aimerais bien de marquer des stop-tirs sur sur la tête de tout le monde à la Klay Thomson…

Mais tu te retrouves toujours à bout de force au moment du tir ?

Ou géné-e par ton défenseur ?

Ou alors tu es en déséquilibre complet au moment où tu as envie d’armer ton tir et encore pire : quand tu sautes pour shooter ?

Bonne nouvelle pour toi :

Ce sont des choses qui se travaillent et qui s’améliorent SI TU LES TRAVAILLES DE MANIERE SPECIFIQUE !
Tu vas trouver dans cet articles les 3 FOCUS pour progresser sur ton stop tir et en placer plus souvent a l’entrainement et en match.

 

 

Focus NUMERO 1 : ton dribble

« mais qu’est-ce-que c’est que ces histoires de dribble alors que moi je veux tirer ?? »

Bah oui ok le tir, mais pour réussir à enchainer un drive puis un shoot, il faut que ton dribble « aide » ton armée de tir, ton rythme aussi, bref il faut que tout ça concorde et aille dans le même sens pour que tu puisses être adroit.

Un repère que je me fixe quand je bosse : je pose mon dribble légèrement devant moi (également sur le coté pour pas me faire piquer la balle hein^^) , comme ça je la récupère plus facilement pour le shoot. Devoir aller chercher la balle vers l’arrière c’est genre une danse contemporaine hyper complexe en mode Christine and the Queens… bon j’aime bien l’idée mais pour le moment on va d’abord chercher de l’efficacité hein !! ^^

si t’es pas capable de poser un bon dribble, qui te fait avancer et gagner ton terrain, tu ne pourras jamais stopper tirer devant un bon defenseur.

Deuxième focus : ta flexion de jambes

Pour enchainer un bon tir, tu dois baisser ton centre de gravité, donc te fléchir pendant ton dribble.
Sur tous tes drives, le mieux est d’être fléchi-e, car ça te rend plus stable face au contact, et plus enclin à réagir.
Mais alors si tu veux stopper et tirer, la c’est juste obigatoire….
Être fléchi-e avant même d’avoir armé ton tir te permettra de pouvoir puiser la force nécessaire dans tes jambes quand tu vas t’arrêter pour shooter, de transformer ta viterre horizontale en vitesse verticale et de gagner un temps précieux sur ton defenseur.

Focus numero 3 : ton style

Mais non pas ton style vestimentaire !! (bon ok ça a son importance, mais pas dans cet article ^^)

Je parle de ton style car en fonction de tes caractéristiques, il est primordial de te trouver un style : en suspension, en extension, très droit, un peu déséquilibré, armée plus haute ou basse que tes tirs a trois points, même armée ?

Ce sont des caractéristiques que tu peux trouver en testant un peu tout.
Par contre quand tu teste, ne te fie pas du tout au résultat (marqué ou pas) : TOUT CE QUI COMPTE SONT TES SENSATIONS !! Marquer ou pas, c’est aléatoire quand on bosse techniquement sur un nouvel aspect, ça se travaille, par contre le confort si tu le trouves naturellement, c’est carrément plus facile de corriger des petites choses pour gagner en efficacité rapidement.

Petit conseil : pour les « grands » (ceux qui sont en général plus grand que leurs adversaires), ou ceux qui ont une détente à la Space Jam, la suspension est souvent un atout. Pour ceux qui sont plus petits que leurs adversaires, il vaut mieux miser sur la vitesse de dribble et l’extension pour shooter avant que de grands bras ne viennent contrer le shoot.

Pour aller plus loin :

Le stop tir est vraiment plaçable souvent, si tu le maitrises et que tu sais pourquoi tu le fais. Commencer par le placer à l’entrainement plus régulièrement est un premier pas pour te rendre compte de tes possibilités. Et l’étape suivante est de réussir a en place un par match pour commencer et voir comment tu te sens avec ça.

Et surtout n’oublie pas de te féliciter comme tas envie quand tu arrives à en placer alors que c’était pas gagné 😉

Si tu as envie d’en savoir plus sur le tir, ça se passe ici : 

Comment faire des séries de tirs VRAIMENT efficaces ?

Have fun

Claire 🤹🏼‍♀️ & Mel 🤹🏻‍♀️

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Les séries de shoots qui te font VRAIMENT progresser !

Les séries de shoots qui te font VRAIMENT progresser !

Les séries de shoots sont un grand classique pour les basketteurs : les coachs demandent régulièrement d’effectuer des séries dans le but d’améliorer le pourcentage de réussite de leur équipe.

Mais es-tu sûr-e de progresser quand tu fais des séries ?

Est-ce que tu sais pourquoi tu en fais ?

Et le pire : est-ce que tu ‘ennuies de “juste shooter” pleins de fois d’affilé sans un vrai but ??

 

C’est pour répondre à ces questions et que tu progresses plus rapidement sur ton shoot (entre autres…) qu’on a voulu écrire cet article : nos conseils vont te permettre de rentabiliser les séries de shoots à fond, de manière hyper individualisée et efficace.

 On va donc te donner des idées concrètes à mettre en place dès ton prochain entrainement ! (et en plus, on t’a filé des petits BONUS de progression à la fin de l’article, donc je serai toi, je resterai jusqu’à la fin 😛 )

 Je sais tu as super hâte d’en savoir plus et je te comprends…

 Alors, FEU !! 

La base : fixer un objectif à tes séries de shoots

C’est la base si tu veux que tes séries de shoots imposées soient rentables !! (je dis “imposées” parce que je suppose que lorsque tu es tout-e seul-e, tu as clarifié tes objectifs avant de te lancer dans des séries endiablées… non ? sérieux ? Alors poursuit IMPERATIVEMENT ta lecture 😉 )
Répéter ton shoot sans y mettre du sens revient à peu près à se taper la tête contre un mur en attendant que le mur flanche….

Autant te dire que c’est voué à l’échec et on va t’expliquer pourquoi tout de suite !

LES 7 MEILLEURES RAISONS DE FIXER UN OBJECTIFS À TES SERIES DE SHOOTS

  • L’objectif te motivera : en bon compétiteur-trice que tu es, tu vas vouloir l’atteindre quoi qu’il arrive. 
  • Ça te permettra d’avoir un avis très concret sur ta performance et de te situer : « oui j’ai atteint l’objectif de mettre 8 paniers de suite » ou « non je n’ai pas réussi ». 
  • Tu vas développer de la confiance en toi parce qu’atteindre un objectif qu’on s’est fixé seul-e est toujours valorisant. Ton autonomie est précieuse. Et quand tu réussis à franchir une barrière, ne boudes pas cette réussite. Au contraire, félicite toi ! 
  • Tu vas entrainer ta volonté et ta persévérance parce que tu seras seul-e avec ton objectif et que si tu échoues, tu seras également seul-e à pouvoir te faire recommencer !
  • Ça te permettra de te voir évoluer ou stagner dans certains domaines. Si tu progresses, tu augmentes le niveau de l’objectif, si tu stagnes tu recommences en cherchant à t’améliorer.
  • Tu vas le retranscrire en match parce que le match demande de l’efficacité « qui compte » : il y a un objectif de résultat. En t’habituant a avoir un objectif en tête, tu seras plus à même en match de répondre présent-e dans les moment chauds.
  • Tu vas beaucoup plus t’amuser : ça, c’est une condition « sine qua non » pour nous. On joue au basket parce que c’est notre passion, et se challenger avec un objectif fait parti de la notion de plaisir. Certes, c’est un jeu où il faut gagner contre soi. Mais c’est un jeu quand même.

Ce que tu peux faire concrètement :

C’est en réalité assez facile d’optimiser tes séries,  à partir du moment où tu connais ton shoot et où tu sais ce que tu veux en faire…

Un-e joueur-euse qui doit modifier son tir n’aura pas besoin de se fixer les mêmes objectifs qu’un-e joueur-euse qui veut augmenter son pourcentage à trois points en sortie d’écran. Leurs séries et leurs objectifs de séries vont être différents. 

Moi, je fixe mes objectifs de séries en fonction de mes qualités propres, de mon rôle dans l‘équipe, du moment de l’entrainement, etc.

Et c’est très efficace pour progresser très spécifiquement et mesurer les avancées, moi j’adore ! 

Il existe énormément de sortes d’objectifs de série, du plus basique au plus fun, du plus spécifique au plus varié. C’est encore une fois à toi de voir ce qui te plait, ce qui te motive et t’anime, et quels résultats tu veux.

La clé est encore l’individualisation

Idées concrètes d’objectifs de séries de shoots 

Bon, on entre dans le vif du sujet…

Si tu as lu le début de notre article, tu dois maintenant te dire qu’on radote des trucs chelous et tu vas quitter notre site illico. Bon si c’est le cas, merci d’être passé et c’était génial de t’avoir comme lecteur-trice 🙂

Mais si tu te dis “tiens c’est pas bête de fixer un objectif quand je shoote…”, alors on avance ensemble vers ta progression !

Parce que  là, on va encore te donner des VRAIES pistes pour que tu puisses tester ce qui te plait et ce qui te fais progresser (ou pas) ! C’est une liste qu’on s’est créée à force de se demander pourquoi on faisait des séries de shoots. Il est donc nécessaire que tu te poses d’abord la question pour toi, avant de venir éventuellement piocher dans nos idées si elles te plaisent 🙂

 

Notre liste d’objectifs en exclu rien que pour toi (parce qu’on te kiff):

 

– objectif zen master
C’est un de mes préférés (car il est difficile pour moi…) :  il consiste à trouver du relâchement dans ton shoot en te basant sur les points forts de ta gestuelle. il est un peu plus difficile à mesurer, mais tu peux l’évaluer par tes sensations.

 

– objectif game time
Bon, le nom de l’objectif est parlant je pense… Tu te mets au plus proche de tes situations de shoots en match : ça demande bien sûr que tu connaisses ton jeu (pour savoir exactement où tu shootes en match, de quelle manière, etc.) mais c’est du kiff en barre !

 Attention, car c’est un exercice fatiguant : vois avec ton entraineur ou une de tes personnes ressource pour savoir quand faire ce genre de séries.

– objectif technique

 Tu as un “défaut” dans ton tir que tu essayes de corriger car il gène ta régularité ? Tu peux y consacrer tes séries de shoots. il est important dans ce cas d’être attentif-ive à CE détail et non au fait de louper ou marquer (dans un premier temps en tout cas).

 Et le mieux est d’avoir quelqu’un qui te regarde shooter pour te dire si oui ou non tu arrives à corriger ton geste.

– objectif de réussite

C’est le plus classique : il consiste à te fixer un objectif clair du nombre de panier marqué, du pourcentage de réussite ou encore de la plus longue série sans louper de panier.

 

 Dans cette liste, tu prends ce qui t’intéresse, tu remixes pour l’adapter à tes caractéristiques, tu testes des nouveaux trucs : fais toi plaisir, les possibilités sont quasi-infinies. 

Si tu n’arrives à te connaitre suffisamment pour pouvoir fixer tes propres objectifs, on t’invite à regarder le contenu de nos formations car elles pourront t’aider à y voir plus clair et à progresser plus rapidement…

 

notre bonus “parce-qu’on-sait-que-tu-vas-encore-plus-progresser”

Tu fais généralement des séries de shoots avec un coéquipier. Sauf si tu es comme les joueurs nba avec 3 rebondeurs par joueurs ? Si c’est le cas, KIFF BIEN !! Sinon, tu vas devoir également prendre les rebonds de ton-ta teammate. Ce qui peut paraitre comme un frein à ton envie de progresser au shoot.

Mais en fait NON ! Tu prends les rebonds de ton-ta pote (ou pas pote parfois ^^), mais vous pouvez vous entraider !  Je m’explique : 

Si tu bosses sur du spécifique : par exemple la position de ton pied droit pendant ton shoot. Rien ne t’empêche de le dire à ton-ta coéquipier-e et qu’il regarde la position de ton pied. Avoir un avis extérieur est toujours positif si tout est clair dans le but de la série. Et évidemment, tu feras pareil pour lui et vous avancerez plus rapidement et avec plus de clarté.

notre super bonus “parce-qu’on-kiff-que-tu-progresses-vite”

https://www.youtube.com/watch?v=mvJ1uIWPb48&t=18s

Toujours en se disant que tu n’as pas (encore) trois rebondeurs pour toi, et que du coup tu rebondes ton-ta coequipier-ière, que penses-tu de travailler ta qualité de rebond et ta qualité de passe EN MÊME TEMPS que ton shoot ??? Quel meilleur moment pourrais tu trouver pour travailler des attraper de balles à une main suivi d’une passe dans le dos ?? Optimisation de ton temps, again…

En bref…

Tu veux rentabiliser tes séries de shoots pour devenir le meilleur shooteur possible ?

Alors tu dois :

  • savoir pourquoi tu fais une série
  • Fixer des objectifs très précis et spécifiques à tes caractéristiques
  • Utiliser les deux petit plus pour rentabiliser au max ta série 

Avec ça, tu sais quoi faire avant, pendant et après tes séries.

Amuse toi bien, n’hésite pas à commenter si tu as envie de partager des choses ou poser des questions, on est la pour t’aider à y répondre ! 🙂 

 

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Claire 🤹🏼‍♀️ & Mel 🤹🏻‍♀️